Читать бесплатно книгу «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11» Джорджа Гордона Байрона полностью онлайн — MyBook

LETTRE CCXLII

A M. MURRAY

Ouchy, près de Lausanne, 27 juin 1816.

«Me voilà retenu en route (par le mauvais tems) et retardé dans mon retour à Diodati après un voyage en bateau autour du lac. Je vous envoie ci-inclus un brin de l'acacia de Gibbon, et quelques feuilles de roses de son jardin que je viens de voir avec une partie de sa maison. Vous trouverez dans sa vie une mention honorable de cet acacia, à propos de la promenade qu'il fit le soir même où il termina son histoire. – Le jardin et le pavillon d'été où il composait, sont négligés, et ce dernier surtout tombe en ruines; mais on le montre encore comme lui ayant servi de cabinet, et il me parut qu'on en avait parfaitement conservé le souvenir.

»Mon voyage à travers la Flandre et le long du Rhin a rempli et même surpassé mon attente.

»J'ai traversé tout le pays décrit par Rousseau, son Héloïse à la main, et j'ai été frappé d'une manière inexprimable de l'énergie et de l'exactitude de ses descriptions, ainsi que de la beauté de leur réalité. Meillerie, Clarens, Vevay et le château de Chillon, sont des lieux dont je dirai peu de chose, car tout ce que j'en pourrais dire serait bien loin de donner une idée de l'impression qu'ils produisent.

»Il y a trois jours que nous manquâmes d'être submergés par un coup de vent près de Meillerie, et d'être jetés sur le rivage. Je ne courais aucun risque si près des rochers, étant bon nageur; mais notre compagnie fut mouillée, et passablement incommodée. Le vent était assez violent pour abattre des arbres, à ce que nous vîmes en débarquant; cependant tout est réparé et oublié, et nous voilà sur notre retour.

»Le docteur Polidori n'est pas ici, mais à Diodati, où nous l'avons laissé à l'infirmerie avec une foulure au pied, qu'il a gagnée en tombant d'un mur. – Il ne sait pas sauter.

»Je serai bien aise d'apprendre que vous êtes tous en bonne santé, et que vous avez reçu certains casques et épées expédiés de Waterloo que j'ai traversé avec un mélange de plaisir et de peine.

»J'ai terminé un troisième chant de Childe Harold, contenant cent dix-sept stances, plus long qu'aucun des deux précédens, et en quelques endroits peut-être meilleur, mais naturellement ce n'est pas moi qui puis décider de cela. – Je vous l'enverrai par la première occasion qui me paraîtra sûre.

»Votre, etc.»

LETTRE CCXLIII

A M. MURRAY

Diodati, près Genève, 22 juillet 1816.

«Je vous ai écrit il y a quelques semaines, et le docteur Polidori a reçu votre lettre; mais le paquet n'a pas paru, ni l'épître que vous nous annoncez devoir s'y trouver. Je vous envoie ci-incluse une annonce 31, qui a été copiée par le docteur Polidori, et qui paraît avoir trait à la plus audacieuse imposture qui soit jamais sortie de Grub-street.

Note 31: (retour) Voici l'annonce dont il est question:

«Imprimé avec soin et satiné, 2 sch. et demi. – Les Adieux de lord Byron à l'Angleterre, avec trois autres poèmes. -Ode à Sainte-Hélène. -À ma fille, le jour de sa naissance, et Au Lis de France. Imprimé par J. Johnston, Cheapside 335, Oxford 9.

»Ces beaux poèmes seront lus avec un intérêt d'autant plus vif, qu'il est probable que ce seront les derniers de l'auteur qui paraîtront en Angleterre.»(Note de Moore.)

»Je ne crois pas avoir besoin de dire que je ne connais rien de tout ce fatras, et ne sais quelle en peut être la source. – Des odes à Sainte-Hélène, des adieux à l'Angleterre, etc., – si cela peut être désavoué, en supposant que cela en mérite la peine, vous avez pleine autorité de le faire. Je n'ai jamais écrit ni composé un vers sur rien de semblable, pas plus que sur deux autres morceaux qu'on m'a mis sur le dos-quelque chose sur la Gaule, et l'autre au sujet de Mme Lavalette. Quant au lis de France, il me serait tout aussi bien venu en tête de célébrer un navet. – Le matin du jour de naissance de ma fille, j'avais autre chose à faire qu'à m'occuper de poésie, et je ne me serais jamais imaginé qu'on pût inventer pareille chose, si M. Johnston, et l'annonce de sa brochure, n'étaient venus me donner de nouvelles lumières sur les impostures et les jongleries du démon de l'imprimerie, ou plutôt des publications.

»J'avais espéré que quelque nouveau mensonge aurait fait oublier les mille et une calomnies qui ont été accumulées sur moi l'hiver dernier. Je sais pardonner tout ce qu'on peut dire de moi ou contre moi, mais non ce qu'on me fait dire ou écrire à moi-même. C'est assez d'avoir à répondre de ce que j'ai écrit, mais c'en serait trop pour la patience de Job lui-même que d'être chargé de ce qu'on n'a pas fait. Je soupçonne que lorsque le patriarche arabe désirait que son ennemi eût fait un livre, il ne prévoyait pas voir son propre nom en tête. – Je suis tout aussi ennuyé de cette niaiserie qu'elle le mérite, et plus que je ne le serais, si je n'avais mal à la tête.

»Mme de Staël m'a dit de Glenarvon (il y a dix jours, à Coppet) des choses surprenantes et affligeantes; mais je n'en ai rien vu que l'épigraphe, qui promet bien «pour nous et notre tragédie 32.» – Si telle est la devise, que doit être le reste? Le moment choisi pour la publication avec tant de générosité, est probablement ce qu'il y a de plus bienveillant dans l'ouvrage. Le tems, en effet, a été bien trouvé. Quant au contenu, je n'en ai pas seulement la moindre idée, excepté d'après le rapport très-vague que j'en ai entendu faire...... ..............................

Note 32: (retour) Voici l'épigraphe: «Il laissa aux siècles à venir un nom auquel s'attachait une seule vertu et mille crimes.»

»Je devrais être honteux de l'égoïsme de cette lettre, mais ce n'est pas tout-à-fait ma faute, et je serai trop heureux de laisser ce sujet de côté, quand on me le permettra.

»Je suis en assez bonne santé, et je vous ai dit dans ma dernière lettre où j'en étais en fait de rimes. J'espère que vous prospérez, et que vos auteurs sont en bon état. D'après ce que j'ai entendu dire, je suppose que votre haras s'est augmenté. – Bertram doit être un bon cheval. Le faites-vous courir aux premières courses? j'espère que vous remporterez le prix.

»Votre à jamais, etc.»

LETTRE CCXLIV

A M. ROGERS

Diodati, près Genève, 29 juillet 1816.

«Vous souvenez-vous d'un livre (les Lettres de Mathieson), que vous m'avez prêté, que j'ai encore et que j'espère bien rendre à votre bibliothèque? Eh bien, j'ai rencontré, à Coppet et ailleurs, ce même Bonstetten, à qui j'ai prêté, pendant quelques jours, la traduction des épîtres de son correspondant. Tout le souvenir qu'il a conservé de Gray, c'est qu'il était, de tous les poètes du monde, le plus mélancolique, et celui qui avait le plus l'air d'un gentilhomme. Bonstetten, lui-même, est un beau vieillard fort gai et très-estimé de ses compatriotes. C'est aussi un littérateur de quelque réputation, et tous ses amis ont la manie de lui adresser des volumes de lettres, Mathieson, Muller l'historien, etc., etc. – Il est souvent à Coppet, où je l'ai rencontré plusieurs fois. Tout le monde s'y porte bien, excepté Racca, qui, je suis fâché de le dire, paraît être en très-mauvaise santé. Schlegel est dans toute sa force, et Madame aussi brillante que jamais.

»Je suis venu ici par les Pays-Bas, la route du Rhin, et Bâle, Berne, Morat et Lausanne. – J'ai fait le tour du lac par eau, et je vais à Chamouny au premier beau tems. – Mais, en vérité, nous avons depuis peu de si épais brouillards, des tems si sombres et si couverts, qu'on dirait que Castlereagh est aussi chargé des affaires étrangères du royaume du ciel. Je n'ai besoin de vous rien dire de ce pays, puisque vous l'avez déjà parcouru. Je ne songe pas à l'Italie avant septembre. J'ai lu Glenarvon, et j'ai lu aussi l'Adolphe de Benjamin Constant, et sa préface où il nie la réalité de ses personnages. Cet ouvrage, qui laisse une impression pénible, représente pourtant très-bien les conséquences de ne pas être amoureux, ce qui est peut-être l'état du monde le plus désagréable, après celui de l'être pour tout de bon. Je doute cependant que de tels liens, pour me servir de son expression, se terminent aussi malheureusement que ceux de son héros et de son héroïne.

»Il y a un troisième chant de Childe Harold, plus long qu'aucun des deux autres, qui est suivi de quelques autres bagatelles, – entr'autres une histoire sur le château de Chillon. Je n'attends qu'une bonne occasion de les transmettre au grand Murray qui, j'espère, est dans un état florissant. Où est Moore? – Pourquoi ne voyage-t-il pas? – faites-lui mes amitiés, et assurez tous mes amis de ma parfaite considération et de mon souvenir, et en particulier lord et lady Holland, et votre duchesse de Sommerset.

»P. S. Je vous envoie un fac simile. – C'est un billet de Bonstetten. – Je pense que vous serez bien aise de voir l'écriture du correspondant de Gray.»

LETTRE CCXLV

A M. MURRAY

Diodati, 29 sept. 1816.

«Je suis très-flatté de la bonne opinion que M. Gifford a prise du manuscrit, et je le serai bien plus encore, s'il répond à votre attente, et justifie sa bienveillance. Il m'a plu aussi à moi-même, mais cela ne doit compter pour rien. Les sensations, sous l'influence desquelles j'en ai écrit la plus grande partie, ne doivent pas m'être enviées. Quant au prix, je n'en ai fixé aucun, mais j'ai laissé M. Kinnaird, M. Shelley et vous, arranger tout cela. Bien certainement ils feront de leur mieux, et pour vous, je sais bien que vous n'élèverez aucune difficulté. Cependant, je suis tombé parfaitement d'accord avec M. Shelley, que les dernières 500 livres sterling ne seraient que conditionnelles, et je désire pour moi-même, qu'il soit ajouté que le paiement n'en aura lieu que dans le cas où vous vendrez un certain nombre d'exemplaires, qui doit être fixé par vous-même. J'espère que cela est honnête. Dans toute affaire de ce genre, il y a des risques à courir, et jusqu'à ce qu'ils soient passés de façon ou d'autre, je ne voudrais pas y ajouter, particulièrement dans des tems comme ceux-ci, et surtout rappelez-vous bien, je vous prie, que je ne pourrais faire aucune perte qui m'affligeât autant que de vous en occasionner une dans une affaire que vous auriez faite avec moi.

»Le monologue sur la mort de Shéridan a été composé pour le théâtre, à la requête de M. Kinnaird. J'ai fait de mon mieux; mais lorsque je n'ai pas le choix du sujet, je ne prétends répondre de rien. M. Hobhouse et moi, nous arrivons d'un voyage à travers les lacs et les montagnes. Nous avons été visiter le Grindelwald et la Iungfrau, et nous sommes montés sur le sommet du Wengen. Nous avons vu des torrens de neuf cents pieds de profondeur, et des glaciers de toutes les dimensions. Nous avons entendu le pipeaux des bergers et le bruit des avalanches. – Nous avons vu les nuages s'élever en fumée des vallées au-dessous de nous comme la vapeur de l'océan de l'enfer. – Nous avons parcouru, il y a un mois, Chamouny et tout ce qui en dépend; mais quoique le Mont-Blanc soit plus haut, il n'est pas comparable, pour les effets sauvages à la Iungfrau, aux Eighers, au Shreckhorn et aux glaciers du Mont-Rose.

»Nous partons pour l'Italie la semaine prochaine. La route est, depuis un mois, infestée de brigands, mais il faut en courir la chance, et prendre toutes les précautions qui seront nécessaires.

»P. S. Rappelez-moi particulièrement au souvenir de M. Gifford et dites-lui de ma part tout ce que vous pensez que je puis lui dire. Je suis fâché que le portrait de Philippe n'ait pas plu à M. Maturin; je croyais qu'il passait pour un bon portrait. S'il eût fait le discours sur l'original, peut-être eût-il obtenu plus facilement son pardon du propriétaire, et du peintre du portrait 33

Note 33: (retour) Ce passage paraîtra un peu obscur au lecteur, lord Byron y faisant allusion à une circonstance dont il ne donne pas d'autre explication.(Note du Trad.)

LETTRE CCXLVI

A M. MURRAY

Diodati, 30 sept. 1816.

«J'ai répondu hier à vos obligeantes lettres. Aujourd'hui, le monologue est arrivé avec sa page de titre, qui est, à ce que je présume, une publication séparée. – Je vous somme de vouloir bien faire effacer ces mots: «À la requête d'un ami

Pressé par la faim, et à la requête d'amis.

À moins qu'il ne vous plaise d'ajouter «par un homme de qualité,» ou «par un homme d'esprit et d'honneur de la ville.» Dites seulement: «Composé pour être récité à Drury-Lane.»

»Demain, je dîne à Coppet. Après-demain, je lève le camp, et je pars pour l'Italie. Ce soir, étant sur le lac, dans mon bateau, avec M. Hobhouse, le mât qui porte la grande voile tomba comme on l'attachait, et me frappa si violemment à la jambe (et à la mauvaise, par malheur), que cela me fit faire une chose fort sotte, c'est-à-dire que je m'évanouis, mais que je m'évanouis complètement. Il faut que cela ait fait tressaillir quelque nerf, car l'os n'a pas souffert, et je m'en ressens à peine. Il y a six heures que cela s'est passé. Il en a coûté à M. Hobhouse quelqu'inquiétude, et une grande quantité d'eau froide pour me faire revenir. La sensation que j'ai éprouvée est très-singulière: cela ne m'était jamais arrivé que deux fois dans ma vie auparavant, l'une par suite d'une blessure que je m'étais faite à la tête, il y a plusieurs années, et l'autre, il y a aussi bien long-tems, pour être tombé dans un grand tas de neige. – On éprouve d'abord une espèce de vertige, puis le néant, puis une perte totale de mémoire. Quand on commence à revenir, ce dernier point ne serait pas le plus désagréable, si l'on ne la retrouvait pas.

»Vous demandez le manuscrit original. M. Davies a la première copie nette que j'en ai faite, et j'ai ici la première composition, que je vous enverrai ou que je vous garderai, puisque vous le souhaitez.

»Quant à votre nouveau projet littéraire, s'il se présente quelque chose qui, dans mon opinion, puisse vous convenir, je vous l'enverrai. En ce moment, il faut que je songe à amasser, m'étant passablement épuisé par l'envoi que je vous ai fait. L'Italie ou la Dalmatie avec un autre été peuvent me remettre à flot. Je n'ai aucun plan et je suis presque aussi indifférent sur ce qui peut arriver que sur les lieux où je vais.

»Je vous prie de me rappeler de nouveau à M. Gifford et de lui réitérer mes remerciemens pour toute la peine qu'il a prise et pour son obligeance envers moi.

»D'après le commencement de cette lettre, n'allez pas croire que je garde la chambre. Je vous ai raconté cet accident faute d'avoir autre chose à vous dire; mais il n'y paraît plus, et je me demande seulement, de par le diable, ce que je pouvais avoir.

»J'ai parcouru dernièrement les Alpes Bernaises et leurs lacs. Je trouve plusieurs de ces sites (dont quelques-uns ne sont pas ceux que les Anglais fréquentent le plus) plus beaux même que Chamouny que j'ai été voir quelque tems auparavant. Je suis retourné à Clarens et j'ai traversé les montagnes qui sont derrière. J'ai fait pour ma sœur un journal très-court de cette excursion que je lui ai envoyé hier en trois lettres. Elle ne vous lira pas tout, mais si vous aimiez la description du pittoresque, elle vous montrera, j'en suis sûr, ce qui a rapport aux rochers, etc., etc.

»Quant à Christabel, je ne veux pas que personne s'en moque; c'est un poème beau et original.

»Mme de Staël désire voir l'Antiquaire et je vais le lui porter demain. Elle a fait de Coppet le lieu le plus agréable de la terre par ses talens et la société qu'elle y reçoit.

»Votre toujours dévoué, etc.»N.

Je donnerai les extraits suivant du journal dont il est question dans la lettre précédente.

EXTRAITS
DU JOURNAL DE LORD BYRON

18 septembre 1816.

«Hier, 17 septembre, je suis parti avec M. Hobhouse pour une excursion dans les montagnes.

17 septembre.

»Je me suis levé à cinq heures. – J'ai quitté Diodati vers sept heures dans une des voitures du pays (un char-à-banc). Nos domestiques étaient à cheval. – Le tems très-beau: le lac calme et limpide. Le Mont-Blanc et l'Aiguille d'Argentières se voyaient très-distinctement. Les bords du lac étaient magnifiques. Nous sommes arrivés à Lausanne avant le coucher du soleil, et avons passé la nuit à-. Je me suis couché à neuf heures, et j'ai dormi jusqu'à cinq.»

18 septembre.

«Mon courrier m'a appelé. – Je me suis levé. Hobhouse est parti devant. À un mille de Lausanne, nous avons trouvé la route inondée par le lac. Je suis monté à cheval et j'ai été jusqu'à un mille de Vevay. C'était une jeune jument, mais qui allait très-bien. J'ai rejoint Hobhouse, et nous sommes remontés dans la voiture qui est une voiture découverte. Nous nous sommes arrêtés deux heures à Vevay: c'était la seconde fois que je le visitais. Nous sommes allés voir l'église. – On a du cimetière une vue magnifique. Dans son enceinte se trouve le tombeau du général Ludlow le régicide. Il est en marbre noir avec une longue inscription latine, mais très-simple. Il avait été exilé trente-deux ans. C'était un des juges du roi Charles. Auprès de lui est enterré Broughton qui lut à Charles Stuart la condamnation du roi Charles. Il a aussi une inscription assez bizarre et un peu dans le jargon puritain; mais malgré tout cela, c'est une inscription républicaine. On nous a montré la maison de Ludlow. Elle conserve encore son inscription: Omne solum forti patria. Nous sommes descendus jusqu'au lac. – Domestiques, voiture et chevaux, tous nous ont plantés là par l'effet de quelque méprise. Nous les avons suivis sur la route de Clarens. Hobhouse a couru en avant, et les a enfin rejoints. Je suis arrivé pour la seconde fois à Clarens; la première, c'était par eau. Nous sommes allés à Chillon par un pays digne de… je ne sais quel point de comparaison trouver. Nous avons parcouru de nouveau le château. À notre retour, nous avons rencontré une société d'Anglais dans leur voiture. Il y avait entre autres une dame qui dormait profondément. – Dormir profondément dans le lieu du monde le plus anti-narcotique! c'est excellent! Je me rappelle, à Chamouny, avec le Mont-Blanc lui-même devant les yeux, avoir entendu une autre femme, anglaise aussi, s'écrier à sa société: – Avez-vous jamais rien vu de plus champêtre

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